Souci de protéger la vie privée

“Prétendre que vous ne vous souciez pas du droit à la vie privée parce que vous n’avez rien à cacher n’est pas différent de dire que vous ne vous souciez pas de la liberté d’expression parce que vous n’avez rien à dire .” Edward Snowden ksquadremake.freeti.org

Déclaration de l’EFF sur la déclaration pour l’avenir d’Internet

La Maison Blanche a annoncé le 28 Avril 2022 que soixante et un pays ont signé la Déclaration pour l’avenir d’Internet. La vision et les principes de haut niveau exprimés dans la Déclaration – disposer d’un réseau mondial unique véritablement ouvert, favorisant la concurrence, respectant la vie privée et l’inclusion, et protégeant les droits de l’homme et les libertés fondamentales de tous – sont louables.

Et quand les mœurs se perdent à la quête des vues

Ils sont encore nombreux dans ces temps-ci, et certes demain le seront-ils encore plus, ceux qui se perdent dans l’ombre des folies de nouveautés et ainsi, s’écartent de leurs racines ; tout cela par l’intermédiaire des nombres réseaux de distributeurs de vidéos portant atteinte à la sensibilité. Notre attention se portera sur l’un de ces plateformes, le sacré YouTube.

Talk Tech Liberty : gestion du droit d’auteur à l’ère du numérique

Avec comme objectif : améliorer les connaissances des participants sur l’importance du droit d’auteur à l’ère du numérique et avoir la compréhension accrue du cadre légal régissant le droit d’auteur, l’équipe Free Tech Institute a fait un atelier hybride qui s’est tenu en présentiel et sur Zoom dans le programme Talk Tech Liberty. En effet, cet atelier immersif et hors de l’ordinaire a vu la participation de différents artistes et amateurs du monde web. Tous venus pour développer leurs connaissances auprès des pénalistes professionnels et experts. ” Qui aurait deviner sans l’orientation de REGINE MIREILLE Niyongabo, Avocat collaboratrice, RUBEYA & CO-ADVOCATES et Membre de DLA Piper Africa, que pas seulement que les auteurs ont des intérêts matériels découlant de leurs productions, on doit également savoir que la loi reconnaît à l’auteur des droits moraux dont l’objet est de protéger, à travers l’œuvre la personnalité de l’artiste. Pour dire que ce lien particulier du droit moral avec la personnalité de l’auteur explique ses particularités.” Tel était un commentaire de FERNAND JÉSUS Mukunzi, participant en présentiel de l’atelier. Alors que faire ? De son côté, la vice-présidente de l’amicale des musiciens et Manager de Bantu Bwoy a rappelé que les artistes doivent enregistrer leurs œuvres auprès de l’Office Burundais du Droit d’Auteur (OBDA) pour professionnaliser et protéger leurs travaux. Elle a ajouté aussi que les droits d’auteur doivent être bien protégés afin que nos artistes gagnent en contrepartie, ce qui va favoriser la croissance des artistes. Comment qualifiez-vous les artistes ? Pour DACIA Munezero, chargée de la communication et relations publiques chez Yaga : “Les artistes sont eux aussi des entrepreneurs, ils ont besoin d’un certain capital pour promouvoir leurs œuvres ou bien créer de l’art toujours plus impressionnant. Alors, pour utiliser une œuvre protégée par les droits d’auteur, il faut recueillir l’autorisation du titulaire des droits soit par une licence ou bien par une cession des droits. Et si on essaie de comparer avec d’autres pays de la sous-région, que pourraient être vos commentaires ? Bah, on voit qu’ailleurs les artistes vivent de leur art, ce qui n’est pas le cas chez nous. Que prévoit alors Free Tech Institute ? Sur cette question Belyï Nobel KUBWAYO, le Directeur exécutif a répondu en disant que l’organisation prévoit des sensibilisations, faire des recueils des données, effectivement en partenariat avec les institutions œuvrant dans la promotion artistique. Pour ensuite en faire une base de données. C’est ce qu’aidera à produire des documents qui auront des données chiffrées à l’appui et comme résultat les amateurs du monde web auront un total accès à ces documents précieux. Donc, aujourd’hui, avec la mondialisation, le domaine artistique est assez développé par rapport à la forme traditionnelle d’exploitation, aujourd’hui, c’est le numérique, aujourd’hui, c’est le digital et pour parier à tous ces challenges, il faut se mettre alors au diapason. Par Guy-Eudès Barakana ksquadremake.freeti.org

Au milieu de l’invasion de l’Ukraine, les plateformes continuent d’effacer la documentation critique sur les crimes de guerre

Lorsque des atrocités se produisent, à Marioupol, Gaza, Kaboul ou Christchurch, les utilisateurs et les entreprises de médias sociaux sont confrontés à une question difficile : comment gérer le contenu en ligne qui montre ces atrocités ? Pouvons-nous et devons-nous faire la différence entre les contenus pro-violence contenant des atrocités et la documentation par des journalistes ou des militants des droits de l’homme ? Dans un conflit, les plateformes doivent-elles prendre parti pour déterminer quels contenus violents sont autorisés ?

Facebook au Burundi

Les données publiées dans les ressources publicitaires de Meta indiquent que Facebook comptait 730,8 mille utilisateurs au Burundi au début de 2022.

Gestion du droit d’auteur à l’ère du numérique

À l’ère actuelle, avec l’arrivée de l’Internet les artistes se donnent à fond et leurs idées deviennent internationales en claquement de doigts et pourtant il ne gagnent pas comme il fallait .  C’est pour cette raison que l’organisation Free Tech Institute vous invite dans un événement ce vendredi dans lequel vous trouverez différents panélistes et experts oeuvrant dans les domaines artistiques, numériques, musicales et juridiques pour voir ensemble ce qu’il faut faire pour améliorer.  Êtes-vous intéressé, êtes-vous un jeune amateur du monde web ou bien aimeriez-vous participer dans cet événement? Veuillez réserver la place pour la participation en présentiel au numéro : Ou bien, veuillez vous inscrire sur lien suivant (pour la participation à distance): ksquadremake.freeti.org

Quoique sa forme, la cybercriminalité au Burundi a des effets  dévastateurs

Comme partout ailleurs dans le monde entier la cybercriminalité évolue à un rythme inquiétant voire même spectaculaire et le Burundi n’est pas épargné de cette malveillance électronique, c’est d’ailleurs un pays qui est parmi les État qui ont avancés  trop de propositions visant le discours de haine en ligne lors de la comité spécial des Nations unies qui s’est tenue à Vienne, de plus, il ne figure pas parmi les 29pays africains qui ont une législation sur la protection des données selon l’Union Internationale des Télécommunications (UIT) dans son global cybersecurity index 2020, cependant, le gouvernement Burundais a opté le 4 février 2022 pour une loi qui lui permet de lutter contre  ce type  de criminalité.