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Les cybercriminels et le bitcoin

Si les cybercriminels n’ont pas épargné le Pentagone et la NASA, le Bitcoin ne serait pas leur prochaine cible ? Dans un monde en pleine digitalisation, un problème subsiste : des hackers qui pullulent comme des rats dans un moulin. En effet, selon le site Statista, les dommages causés par la cybercriminalité en 2025 s’élèveront à un chiffre astronomique de 8 trillions de dollars. Dans cet article, notre collègue Lee Dessart ITANGANEZA a mis en lumière le hacking et le Bitcoin. En 2012, la communauté scientifique est sous le choc face à une nouvelle pour le moins effroyable. En effet, un pirate australien parvient à démontrer en direct qu’il peut pirater un pacemaker (stimulateur cardiaque) à distance. Cette expérience met en lumière les failles du monde actuel et futur face à la cybercriminalité ; horrible non ? Mais que ce n’est que la face visible de l’iceberg. Entre des noms mythiques de la cybercriminalité tels que Jonathan James, connu pour avoir hacké la NASA et le Pentagone (le ministère de la Défense des États-Unis), et le célèbre groupe Lazarus, qui s’est principalement spécialisé dans le détournement de cryptomonnaies, il est judicieux de s’assurer de la sécurité de nos données, mais aussi de celle des cryptomonnaies, en particulier celle du Bitcoin. Face à une mare de fils de l’ombre et d’individus sans foi ni loi,le Bitcoin en est il exempt ? Dans cet article, nous allons examiner la plausibilité d’une attaque sur les cryptos. Comprendre la notion de la blockchain dans les cryptos Il faut savoir que le Bitcoin repose sur une technologie, la blockchain. Qu’est-ce que la blockchain ?  Selon le site Amazon Web Services, la blockchain est un mécanisme de base de données avancé qui permet un partage transparent des informations au sein d’un réseau. Chaque transaction est liée à la précédente, formant ainsi une chaîne de blocs. De façon simple Pour illustrer cela, supposons que tu construis une maison avec tes amis. Pour ajouter une brique, tu dois demander l’approbation de tous tes amis, qui vont vérifier l’exactitude de la brique. Chaque opération que tu réalises sur la brique est enregistrée, et tu reçois une récompense après l’avoir ajouté. Cette récompense représente les cryptomonnaies. Chaque brique correspond à une transaction, et l’approbation par tes amis équivaut à la validation effectuée par les nœuds du réseau. Une fois qu’une brique est validée, elle est ajoutée à la structure de la maison, tout comme une transaction est ajoutée à la blockchain. Cela garantit la transparence et la sécurité des opérations, car tout le monde peut voir et vérifier les transactions. L’attaque de 51 % Pour qu’une transaction soit validée sur le réseau Bitcoin, il faut que plus de la moitié des ordinateurs du réseau soient d’accord. Cela veut dire qu’un hacker doit pirater plus de 50 % de ces ordinateurs pour pouvoir tricher, D’où la difficulté de pirater le Bitcoin. En fait, depuis qu’il existe, personne n’a réussi à le Pirater !  La protection totale est-elle alors garantie ? Il est essentiel de comprendre que, bien que les hackers ne puissent pas altérer directement les cryptomonnaies, ils peuvent néanmoins s’en emparer. Les cybercriminels exploitent les vulnérabilités des portefeuilles numériques, des échanges et d’autres systèmes, souvent à des fins frauduleuses. Leur objectif est de subtiliser des fonds en profitant des failles de sécurité, témoignant ainsi des risques permanents auxquels sont confrontés les détenteurs des cryptomonnaies dans cet environnement numérique. Cet univers est il donc un dédale de Banditisme ? Il est indéniable que le piratage des plateformes d’échange et de certains portefeuilles de cryptomonnaies est une entreprise extrêmement difficile. Les hackers ciblent souvent des institutions bien protégées et averties, plutôt que de s’en prendre à des individus isolés. Cette dynamique pose un défi considérable pour ceux qui souhaitent compromettre la sécurité des actifs numériques. La Protection des Utilisateurs Pour les utilisateurs détenant d’importantes quantités de Bitcoin, il existe des solutions de sécurité robustes. L’une des plus efficaces est l’utilisation de « cold wallets », les portefeuilles hors connexion. Ces portefeuilles permettent de stocker des cryptomonnaies de manière sécurisée, sans être connectés à Internet, ce qui les rend pratiquement invulnérables aux attaques en ligne. Quelle conclusion pour le Burundi Le Burundi est un pays en voie de développement. Le Bitcoin peut constituer une alternative pour certains aspects. Actuellement, la majorité de la population mondiale demeure sceptique à l’égard du Bitcoin, la principale préoccupation étant la volatilité de cette cryptomonnaie. Cependant, certains pays dans une situation analogue à celle du Burundi, tels que la Centrafrique, se sont aventurés dans le domaine de la cryptomonnaie en adoptant le Bitcoin comme monnaie nationale. Cette décision est-elle judicieuse ? L’avenir nous le dira. Free Tech Institute

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Crypto marche, Jusqu’où ira le Bitcoin ?

La réputation du Bitcoin est entourée de mystères et des opportunités même si Jeudi le 04 Décembre 2024, sa valeur dépassé le seuil inédit des 100, 000 USD depuis sa création. Dans cet article, notre collègue Florent Barakana nous parle du tournement historique du Bitcoin qui ébloui dans l’année 2024. Bitcoin, le géant des autres cryptomonnaies, créée en 2008 où le monde était dans une crise financière, depuis ce jour jusqu’à maintenant il est utilisé par pas mal de gens et déjà approuvé dans différents Etats voire même adopter comme monnaie nationale. Un mystérieux créateur Plus de seize ans après sa création, la paternité du bitcoin reste controversée. Les principes de cette monnaie virtuelle ont été dévoilés le 31 octobre 2008 dans le « livre blanc », un document de neuf pages signé par son créateur « Satoshi Nakamoto ». Il exprime qu’effectuer des paiements en ligne directement d’un tiers à un autres sans passer par une institution financière, concurrence ainsi les banques centrales les seules habilitées à créer de la monnaie. Il est mystérieux ! Comment ? parce que personne ne peut le toucher, ne peut le manipuler, le modifier, même ses créateurs, ce qui le différencie des autres cryptomonnaies. Une montée en flèche L’an 2024 a marqué un tournement historique pour le Bitcoin. Alors qu’il a franchi enfin la barre des 100.000 dollars Américains, l’avenir du crypto monnaie phare semble plus prometteur que jamais. L’ascension vertigineuse du Bitcoin n’est pas le fruit du hasard. Plusieurs facteurs ont contribué à sa percée historique. La victoire de Donald Trump aux élections présidentielles et sa politique crypto-positive sont des éléments essentiels dans cette dynamique. Après sa victoire, le bitcoin a bénéficié d’un environnement plus favorable, marqué par la nomination de Paul Atkins à la tête de la SEC (Securities and Exchange Commission), un acteur connu pour ses positions favorables aux cryptomonnaies. Cette désignation, en particulier, a envoyé un message fort aux marchés, signalant un assouplissement des régulations qui, jusqu’alors, freinaient l’adoption des crypto-actifs. Dans ce contexte, le Bitcoin a vu sa valorisation exploser, affichant une progression impressionnante de 144% en 2024. Cette performance exceptionnelle fait du BTC l’un des actifs les plus performants cette année, bien que derrière des cryptos comme Dogecoin (+390%) et Ripple (+291%). Un avenir radieux pour le Bitcoin ? Le Bitcoin, désormais à plus de 100 000 dollars, devient un investissement qui se popularise. Avec des régulations plus favorables, une adoption institutionnelle croissante, et des perspectives économiques porteuses, il semble bien que la valeur du Bitcoin continuera d’augmenter. Qu’en pensez-vous de cette nouvelle forme de monnaie qui bat les records ? Free Tech Institute

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La clarté sur la cryptomonnaie

Au Burundi, les opérations effectuées au moyen d’une cryptomonnaie sont considérées comme de l’arnaque. Le sont-ils vraiment ? Quel impact aurait la règlementation de la cryptomonnaie? Notre collègue Jean Darcy HORANIMANA a un mot à en dire. La cryptomonnaie, telle que le BITCOIN, peut être utilisée comme un mode de paiement si elle est acceptée par un vendeur, ou tout simplement être conservée. Elle peut être échangée par l’intermédiaire d’une plateforme d’échange ou de pair à pair, sans qu’il soit nécessaire de recourir à un système financier traditionnel. Bien que la cryptomonnaie soit une reproduction de la valeur de l’argent, elle n’a ni existence physique ni cours légal au Burundi et dans pas mal des pays en Afrique. Il ne faut pas confondre la monnaie virtuelle (par exemple, une cryptomonnaie comme le BITCOIN et l’ETHEREUM) et la monnaie électronique (par exemple, le dollar), celle-ci étant stockée sur un support électronique et accessible par divers moyens (téléphone cellulaire, carte bancaire ou carte de débit). L’émission et les transactions de cryptomonnaies reposent sur la technologie des chaînes de blocs, qui donne généralement lieu à du minage. Il ne faut pas sous-estimer les nombreux risques liés aux cryptomonnaies, notamment les risques de volatilité et d’arnaque. Comme pas mal des gens ne sont pas plus informé de ce monde, ils peuvent être victimes dans plusieurs façons. Les fiscalités liées à l’utilisation de la cryptomonnaie La cryptomonnaie est souvent prise pour un bien, et non pour une monnaie, car elle n’a pas cours légal au Burundi. La réglementation aurait un impact financier pour l’application de l’impôt sur les revenus, ce qui n’est malheureusement pas le cas car les opérations effectuées au moyen d’une cryptomonnaie sont considérées comme de l’arnaque malgré qu’avec elle, les personnes acceptent de s’échanger des biens ou des services sans utiliser d’argent en billet. Cette utilisation de la monnaie aura une incidence fiscale pour vous si, notamment, vous l’utilisez pour acquérir des biens ou des services; vous la convertissez en devise monétaire; vous l’échangez contre une autre monnaie virtuelle; vous la vendez ou en faites don. Registration pourra offrir à la population des pièces justificatives s’ils échangent, achètent ou vendent de la monnaie virtuelle ou s’ils offrent des services de minage, car porter des registres et conserver toute pièce justificative à l’appui des renseignements qu’ils contiennent pendant une période donnée leurs donnera un avancer de plus. C’est une règle qui s’applique aussi aux entreprises qui acceptent la cryptomonnaie comme paiement pour les biens vendus et les services rendus ainsi de suite. Voici les documents qu’on peut juger nécessaires pour l’utilisation de la cryptomonnaie dans une entreprise pour donner la transparence: les dates des transactions; les reçus d’achat ou de transfert de la monnaie virtuelle; la valeur de la monnaie virtuelle en dollars canadiens au moment de chaque opération; les registres de portefeuilles numériques et les adresses de cryptomonnaie; une description de l’opération et de l’autre partie (même s’il ne s’agit que de son adresse de cryptomonnaie); les registres des échanges; les frais comptables et juridiques; les coûts du logiciel lié à la gestion de vos affaires fiscales. De même des services de minage, doivent également conserver les documents suivants : les reçus d’achat de logiciels de minage de cryptomonnaies; les reçus à l’appui de vos dépenses et les registres contenant les renseignements liés au minage (comme les coûts d’électricité, les frais associés au bassin de transactions, les spécifications des logiciels, les coûts d’entretien et le temps d’exploitation du matériel); les registres liés au bassin de transactions. Free Tech Institute

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Quelques pistes aux nouveaux venus pour se démarquer dans les cryptomonnaies.

Les cryptomonnaies représentent une opportunité fascinante pour les investisseurs et utilisateurs du monde entier. Néanmoins, pour les nouveaux venus, cet univers peut rapidement devenir un véritable casse-tête. Quelles en sont les causes, et comment s’y retrouver ? Conçu comme un guide pratique destiné aux débutants souhaitant mieux comprendre cet univers passionnant, le présent article rédigé par Clément HAVYARIMANA s’inspire en grande partie du rapport d’étude sur les cryptomonnaies au Burundi réalisé par CIPER Consulting Un parcours semé d’embûches Si vous vous êtes déjà lancé dans le domaine des cryptomonnaies, vous avez probablement rencontré une série de défis qui vous ont découragé, et donné envie d’abandonner. Cependant, si vous avez persévéré jusqu’à atteindre un niveau notable de maîtrise, vous méritez des éloges pour votre détermination face à ce parcours semé d’embûches, qui continue d’évoluer. Le monde des cryptomonnaies connaît aujourd’hui une grande diversité. Plus de 23 000 cryptomonnaies actives, des plateformes d’échange multiples et une absence de réglementation claire au Burundi rendent l’adoption difficile pour les nouveaux utilisateurs. Pourtant, comme le souligne le rapport de CIPER Consulting, les cryptomonnaies offrent une solution innovante face à certains défis économiques du pays, comme la faible inclusion financière et les coûts élevés des transferts internationaux. Une diversité d’options qui peut désorienter Les débutants se retrouvent souvent perdus face à la multitude de choix. Bitcoin et Ethereum, les deux principales cryptomonnaies, sont des options populaires, mais de nombreuses alternatives émergent, chacune avec des cas d’utilisation spécifiques. Certaines, comme Solana et Cardano, mettent en avant leur rapidité et leur faible consommation énergétique, tandis que d’autres promettent des applications innovantes dans la finance ou la logistique. Mais comment séparer les projets sérieux des simples spéculations ? Le rapport insiste sur l’importance d’une éducation adaptée pour permettre aux nouveaux utilisateurs de faire des choix éclairés. Des plateformes d’échange variées, mais souvent intimidantes Les plateformes d’échange sont un des accès aux cryptomonnaies, mais celles-ci présentent aussi leur lot de défis. Binance, Kraken ou Coinbase offrent des solutions globales, mais les frais, la sécurité et la complexité des interfaces posent problème aux débutants. Au Burundi, comme le mentionne le rapport, les utilisateurs n’ont souvent pas accès à des plateformes locales réglementées, ce qui les pousse à se tourner vers des alternatives internationales. Cette situation, combinée à une infrastructure numérique encore limitée, complique encore l’intégration des cryptomonnaies dans le quotidien des Burundais. Le spectre des arnaques et fraudes Un obstacle majeur est la prolifération des arnaques. Des systèmes pyramidaux, des fausses plateformes d’échange et des projets frauduleux exploitent la naïveté des nouveaux utilisateurs. En 2022, les pertes dues aux arnaques liées aux cryptomonnaies ont dépassé 4,3 milliards de dollars, selon un rapport de Chainalysis. Le document de CIPER Consulting souligne l’importance de campagnes de sensibilisation pour prévenir ces abus. Les utilisateurs doivent apprendre à repérer les signaux d’alerte, comme des promesses de rendements garantis ou des offres trop belles pour être vraies. Des pistes pour se démarquer dans cet écosystème Pour les débutants, se démarquer et naviguer avec succès dans l’univers des cryptomonnaies passe par une série de bonnes pratiques. D’abord, l’éducation et l’information car il est essentiel de comprendre en avant les fondamentaux des cryptomonnaies et se familiariser avec les notions de blockchain, de portefeuilles numériques et des principales monnaies disponibles. Ensuite, les investissements doivent être prudents; Commencer par de petites sommes permet de limiter les risques tout en se familiarisant avec les mécanismes du marché. De plus, assurez la sécurité en priorité tout en utilisant des plateformes reconnues et sécurisées, en privilégiant les portefeuilles matériels pour protéger vos actifs, et toujours en activant les options de sécurité avancées comme l’authentification à deux facteurs. Et enfin particulièrement au Burundi, comme le suggère le rapport de CIPER Consulting, la mise en place d’un cadre réglementaire au Burundi permettrait de sécuriser les investissements tout en favorisant une adoption plus large. Naviguer dans l’univers des cryptomonnaies est une aventure pleine de défis, mais aussi riche en opportunités. Avec une éducation adaptée, des choix réfléchis et une vigilance accrue face aux arnaques, les débutants peuvent surmonter les obstacles et tirer parti de cet écosystème en pleine expansion. Free Tech Institute

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Le bitcoin est plus cher qu’un kilo d’or.

En décembre 2024, un seul bitcoin équivalait au prix d’un kilo d’or, ce dernier qui depuis des millénaires considérés comme un étalon de richesse. Ce phénomène, à la croisée des chemins entre la technologie et la finance traditionnelle, soulève des questions passionnantes : comment cette cryptomonnaie, jadis perçue comme un instrument marginal, a-t-elle gravi les échelons pour rivaliser avec l’or, un pilier intemporel de l’économie mondiale ? Dans cet article rédigé par notre collègue Jean Darcy HORANIMANA, nous allons, à travers un retour sur les événements marquants des dernières années, plonger dans cette ascension fulgurante et les raisons qui font du bitcoin un acteur incontournable de notre époque. Le bitcoin a eu une période remarquable, maintenant le bitcoin s’arrachent à prix d’or et ces termes ne sont pas choisis au hasard, c’est parce que sa valeur est aujourd’hui en 2025 dépasse celle d’un kilo d’or; Un bitcoin a été une fois cette chose dont on dit qu’elle est uniquement virtuelle qu’elle n’a aucune valeur qu’elle ne repose sur rien qu’elle est uniquement utile pour le financement du terrorisme ; pour acheter de la drogue pour acheter des armes et bien aujourd’hui ce bitcoin insignifiant et virtuels vaut autant qu’un kilo d’or qui est bien réel, c’est plus marrant car l’or c’est quelque chose qui existait bien avant d’autres monnaies comme l’euro le dollar ou même le franc. L’or était utilisé depuis très longtemps justement pour faire des échanges de valeurs entre individus. Mais alors pourquoi le bitcoin s’arrache à ce prix ? Quand on suit la petite courbe où on voit le prix du kilo d’or à la courbe du bas c’est le prix d’un bitcoin  a partir de 2015 à gauche et ça termine en 2021. Image : Comparaison de l’evolution en valeur du bitcoin et d’un kilo d’or jusqu’à 2021Source: https://bitcoinist.com A droite et on voit bien que le bitcoin rattrape le prix d’un kilo d’or aux alentours des cinquante-six mille dollars.  Alors comment expliquer ça? Pour ce faire, faisons un retour dans le passé et explorons ensemble un récit de l’année dernière pour comprendre la raison qui pourrait expliquer comment le bitcoin est passé de 3 800 à 60 000 dollars en l’espace de 365 jours, depuis le 13 mars 2020. À cette époque, une pandémie mondiale frappe presque tous les coins du globe. Les pays se confinent les uns après les autres, les marchés financiers s’effondrent, et le bitcoin n’y échappe pas. Il plonge sous les 4 000 dollars, atteignant précisément 3 800 dollars, alors qu’il s’échangeait entre 8 000 et 10 000 dollars quelques jours auparavant. Tout le monde se demandait alors s’il finirait par disparaître totalement. Lors de cette chute, il perd 50 % de sa valeur en seulement 24 heures. La cryptosphère retient son souffle et s’interroge : le bitcoin survivra-t-il à sa première crise mondiale ? Le lundi 11 mai 2020, quelques semaines après le crash causé par le COVID19, le bitcoin revient à 10 000 dollars et effectue son troisième halving. Peu de temps après, sa valeur commence à augmenter. Le 12 août 2020, il oscille entre 10 000 et 12 000 dollars, et on apprend que MicroStrategy, une entreprise de logiciels informatiques cotée au Nasdaq, investit 250 millions de dollars dans le bitcoin. Cet acte a inspiré de nombreux autres investisseurs à revenir vers le bitcoin, notamment grâce à ce geste inédit du Nasdaq, car aucune autre entreprise de cette envergure n’avait encore investi dans le bitcoin. MicroStrategy a fait cet investissement alors que le bitcoin était à 12 000 dollars, et cela a contribué à ce qu’il s’échange autour de 55 000 dollars vers le début de l’année 2024, un prix comparable à celui de l’or, qui atteignait alors 60 140 dollars le kilo. La courbe de notre token n’a pas dévié de sa trajectoire ascendante, soutenue par des investisseurs qui ont découvert son potentiel en tant que monnaie fiable et sécurisée grâce à une technologie blockchain de haut niveau, exempte de risques majeurs en matière de sécurité. Cet aspect est devenu d’autant plus crucial ces derniers temps, car le bitcoin a atteint son prix le plus élevé, 100 000 dollars, le 5 décembre 2024, dans les premières heures de la journée, suite à l’annonce de Donald Trump le 4 décembre 2024. L’avenir du bitcoin reste à déterminer, mais, vu la manière dont il s’est imposé comme une tendance technologique et financière, cette monnaie demeure un symbole prometteur pour un avenir meilleur dans le monde technologique. Passant d’une invention obscure à un pilier des marchés financiers mondiaux en quelques années, notre jeton a surmonté des défis majeurs, notamment des pandémies mondiales et des crises économiques, pour s’imposer comme une alternative sérieuse aux monnaies traditionnelles et aux actifs physiques comme l’or. Grâce à la confiance des investisseurs, à l’adoption institutionnelle et à une technologie blockchain infaillible, le bitcoin incarne aujourd’hui bien plus qu’une simple cryptomonnaie : il est devenu un symbole de la transformation technologique et financière de notre époque. Même si son avenir reste incertain, sa montée en puissance témoigne d’un monde en mutation, où innovation et résilience redéfinissent les règles du jeu économique global. Img source : https://bitcoinist.com Free Tech Institute

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Crypto-monnaie, Crypto-actifs : Comment s’y retrouver ?

Vous connaissez sans doute les services de mobile money comme Lumicash, Ecocash et Orange Money, ou bien d’autres, et vous avez peut-être déjà utilisé l’un d’eux. Avec ces technologies, on peut acheter du crédit, soit en espèces, soit avec un compte bancaire en ligne, ou encore acheter des produits et retirer de l’argent liquide directement avec son smartphone. Contrairement à ces services, les crypto-monnaies sont également des monnaies numériques, mais conçues comme des instruments d’échange dans le monde digital. Mais comment s’y retrouver avec les cryptos ? S’agit-il vraiment de monnaies ? Voici des réponses en cinq questions avec notre collègue Florent.

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Industrie très jeune mais en pleine ascension : L’écosystème des crypto-monnaie, un monde neutre pour tous, y compris le Burundi

Le Bitcoin, souvent qualifié d’or numérique, continue de faire la une des actualités par sa capacité à redéfinir les dynamiques économiques mondiales. Sa progression constante suscite un intérêt croissant, non seulement parmi les investisseurs, mais aussi au sein des gouvernements et des institutions financières. Dans un contexte où le Burundi n’a pas une cadre règlementaire et maintient une interdiction stricte sur l’utilisation des crypto-monnaies. Pourtant d’autres pays, qui sont de la même position, la question qui se pose, faut-il continuer sur cette voie ou envisager une révision stratégique pour bénéficier des opportunités offertes par cette révolution numérique ? Cet article de notre collègue Clément Havyarimana propose une analyse approfondie des dynamiques actuelles autour du Bitcoin, divers avantages potentiels qu’il pourrait offrir à l’économie Burundaise et des précautions nécessaires pour maximiser les risques liés à son adoption. Une montée étonnante du Bitcoin en 2024 Lorsqu’on qualifie le Bitcoin d’« or numérique » et de “réserve de valeur”, il est difficile de nier cette réalité, tant les événements récents le démontrent clairement. il s’agit d’une ascension spectaculaire dont les investisseurs et les institutions pourraient largement profiter. Selon CoinMarketCap, sa valeur a augmenté de plus de 40 % au cours des dernières semaines, une performance qui reflète à la fois l’intérêt croissant pour les cryptomonnaies et leur rôle en tant que crypto actif. Les experts expliquent cette montée fulgurante par plusieurs facteurs. “Le Bitcoin est désormais perçu comme une protection contre l’inflation dans de nombreuses économies en difficulté,” affirme Marion Laboure, analyste senior à Deutsche Bank. De plus, l’adoption institutionnelle croissante et l’entrée de grandes entreprises dans l’écosystème crypto renforcent sa crédibilité. Quelles leçons pour le Burundi ? Pour le Burundi, où l’inflation et la faiblesse du franc burundais continuent de peser sur le pouvoir d’achat, les cryptomonnaies pourraient représenter une solution pour répartir son argent dans différentes options afin de limiter les risques et augmenter les chances de le faire fructifier et renforcer l’économie numérique. “Dans les pays en développement, le Bitcoin et d’autres cryptomonnaies ne sont pas seulement un investissement, mais un outil pour contourner les obstacles liés à l’accès aux devises étrangères,” souligne Henri-Louis Vedie dans une étude sur le crypto en Afrique. L’interdiction actuelle des cryptomonnaies par la Banque de la République du Burundi (BRB) prive cependant le pays de telles opportunités. Crypto-monnaie : opportunités et imperfections Nous savons tous que rien n’est parfait. Les cryptomonnaies, elles aussi, ne sont pas épargnées de cette réalité. Les critiques des cryptomonnaies évoquent souvent leur volatilité et leur utilisation possible à des fins frauduleuses. Cependant, des solutions existent pour minimiser ces risques. Une régulation claire, combinée à une campagne éducative nationale, pourrait permettre au Burundi de bénéficier des avantages des cryptomonnaies tout en protégeant ses citoyens.  “L’éducation et la réglementation sont les clés pour transformer les cryptomonnaies d’un danger potentiel en une opportunité économique,” estime David Gerard, auteur du livre Attack of the 50 Foot Blockchain. Les études montrent aussi que les pays ou les crypto-monnaies sont encore à l’état embryonnaire, il serait plus judicieux de commencer par encourager l’usage des stablecoins. Ces cryptomonnaies dont la valeur est adossée à des actifs stables comme le dollar, réduisent les risques de volatilité tout en facilitant les transactions internationale et l’inclusion financières Free Tech Institute

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Cryptomonnaies : Entre opportunités et défis pour les économies émergentes 

En 2019, la Banque de la République du Burundi (BRB) a interdit l’usage des cryptomonnaies, évoquant les risques liés aux fraudes et le manque de contrôle sur les transactions. Pourtant, ce sujet continue de diviser l’opinion publique et les décideurs. À l’heures où les monnaies numériques jouent un rôle très important dans l’économie mondiale, la question de leur rôle au Burundi mérite une réflexion approfondie. Analyse et réflexion de notre rédacteur Clément Havyarimana Malgré que les crypto monnaies représentent une alternative accessible et innovante au système financier traditionnel, elles continuent de diviser l’opinion publique. Dun côté, certains les considèrent comme l’avenir de la finance, promettant liberté et inclusion économique. De l’autre, elles sont perçues par certains comme un terrain propice aux fraudes et à l’instabilité.  Résumons les multiples facettes de cet univers en pleine expansion : Les défis posés par les cryptomonnaies : D’abord, la plupart des personnes qui sont contre l’émergence des cryptomonnaies argumente leurs opinions en disant qu’il y a l’absence de régulation et risques d’arnaque, Le manque de cadre règlementaire expose les utilisateurs à des systèmes frauduleux tels que les pyramides de Ponzi et d’autres, qui sont déjà un problème dans plusieurs pays. Sans protection légale, les victimes de ces escroqueries ont peu de recours. Ensuite, pour ce qui est de la fameuse volatilité des monnaies numériques, si les stablecoins offrent une certaine stabilité, d’autres cryptomonnaies comme le Bitcoin sont extrêmement volatiles. Cette instabilité pourrait entrainer des pertes financières pour les utilisateurs mal informés ou imprudents.  Enfin, leur forte volatilité et l’absence de cadre réglementaires clairs, les cryptomonnaies sont confrontées à de nombreux autres défis fréquemment évoqués. Cependant, ces deux aspects restent parmi les plus significatifs, mais le plus important c’est que les cryptos représentent une alternative accessible et innovante. De plus, malgré ces obstacles, il est important de souligner que les cryptomonnaies présentent également des avantages indéniables qui méritent d’être explorés.  Les avantages des cryptomonnaies Les cryptomonnaies, qui utilisent des technologies décentralisées comme la blockchain, promettent des avantages considérables dans les pays en développement, notamment en Afrique. Au Burundi, où l’accès aux services bancaires est limité pour une grande partie de la population, ces monnaies numériques offriraient une alternative accessible et innovante. En effet, pour les Burundais qui ne possèdent pas de comptes bancaires, les cryptomonnaies permettraient d’accéder aux services financiers par un simple téléphone connecté, ouvrant ainsi la voie à une inclusion financière plus large. Avec une monnaie numérique, chacun pourrait facilement envoyer ou recevoir de l’argent, payer des biens et des services sans avoir recours aux banques. Des transferts d’argent rapides grâces au cryptomonnaies Outre leur potentiel pour l’inclusion financière, les cryptomonnaies peuvent réduire significativement les coûts de transfert d’argent, notamment pour la diaspora burundaise qui envoie des fonds à leurs proches. Les frais des services classiques, souvent onéreux, sont presque éliminés grâce aux transactions en cryptomonnaies, qui se font de façon en peu de temps et à coût réduit.  Un bouclier contre l’inflation et la dévaluation Dans un contexte d’inflation et de dévaluation du franc burundais, les cryptomonnaies représentent également une option pour préserver la valeur de ses économies. Bien que ces monnaies soient parfois volatiles, certaines, appelées stablecoins, sont adossées à des monnaies fortes comme le dollar, permettant ainsi aux utilisateurs de protéger leur pouvoir d’achat contre l’inflation locale. Avec un tel système, les Burundais pourraient avoir accès à une réserve de valeur stable sans dépendre des fluctuations de la monnaie nationale. L’absence de réglementation, une occasion parfaite pour les arnaques Cependant, les défis restent nombreux. En premier lieu, le manque de cadre réglementaire clair expose les utilisateurs aux arnaques. Des systèmes frauduleux comme les pyramides de Ponzi, déjà courants dans d’autres pays africains, pourraient facilement piéger les utilisateurs peu informés. La réglementation actuelle de la BRB, en interdisant purement et simplement les cryptomonnaies, limite les options de protection pour les utilisateurs en cas de litige et restreint l’adoption d’un usage sûr et contrôlé des cryptomonnaies. Les limites techniques et les risques de volatilité À ces risques de fraude s’ajoute la volatilité de certaines cryptomonnaies, comme le bitcoin, dont la valeur peut varier fortement en peu de temps. Les stablecoins offrent une certaine sécurité, mais ils sont moins populaires que les monnaies plus volatiles et ne sont pas forcément accessibles ou bien compris par le public burundais. Par ailleurs, le manque de technologies modernes et de connexion Internet de qualité est un frein important. Dans un environnement où la majorité des connexions sont faibles, l’usage des cryptomonnaies reste difficilement envisageable à grande échelle, notamment en milieu rural. De qui s’inspirer ? Selon l’étude menée par le centre Ciper consulting sur l’état des lieux des cryptomonnaies au Burundi, les expériences du Kenya et du Nigeria montrent qu’il est possible de concevoir une régulation qui encourage l’innovation tout en limitant les risques. Par exemple, le Kenya a opté pour une régulation qui encadre les transactions sans les interdire, tandis que le Nigeria a lancé une monnaie numérique de banque central pour répondre à la demande croissante d’options numériques tout en contrôlant les risques même si cette monnaie ne garantit pas la liberté comme des cryptomonnaies. Pour le Burundi, une approche combinant liberté d’innovation et protection des utilisateurs pourrait permettre de profiter des cryptomonnaies de manière sécurisée. Encourager l’usage des stablecoins, par exemple, permettrait de réduire les risques de volatilité tout en répondant au besoin d’inclusion financière. En parallèle, un cadre éducatif pour sensibiliser la population aux risques et aux bonnes pratiques s’avère essentiel pour éviter les abus et renforcer la confiance. Bien que les cryptomonnaies représentent des défis notables, elles offrent une opportunité de modernisation pour l’économie burundaise et une solution alternative pour l’inclusion financière. Une introduction progressive des changements, inspirée des exemples africains, pourrait transformer ces défis en réelles opportunités de développement économique. En révisant sa politique actuelle, le Burundi pourrait bien s’ouvrir à un avenir numérique inclusif, pour le bénéfice de sa population. Free Tech Institute

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Le Bitcoin et les autres cryptomonnaies : entre engouement et opportunités

Selon un rapport de Triple A, le nombre de détenteurs mondiaux de cryptomonnaies a atteint 562 millions, soit 6,8 % de la population mondiale en 2024.  La légitimité du Bitcoin continue de naviguer dans un environnement turbulent, alors que le monde s’efforce de comprendre ce phénomène. Que retenir de cette adoption massive du Bitcoin à l’échelle internationale ? S’agit-il d’une véritable révolution économique ou d’une tendance éphémère ? Quelle place occupent les autres cryptomonnaies dans cet écosystème en plein évolution ?  Quelques pistes de réflexions avec ITANGANEZA Lee Dessart. Les cryptos : si ce n’est pas du Bitcoin, est-ce du scam (Escroquerie ou pratique frauduleuses) ? Depuis la crise financière de 2008 marquée par la faillite retentissante de Lehman Brothers, un individu ou groupe d’individus du nom de Satoshi Nakamoto a proposé une alternative audacieuse : une monnaie numérique décentralisée, indépendante des banques pour répondre à ce climat de méfiance envers les institutions financières.  A l’ère où vous lisez cet article, l’écosystème des cryptomonnaies ne se limite plus au Bitcoin. De nombreux projets alternatifs tentent de répondre aux limites de ce derniers tout en sachant qu’il existe aussi de nombreux scams. En parlant des cryptos et des scams « Savez-vous qu’il est possible de créer votre propre crypto en moins de 15 minutes ? » En lisant cette phrase, vous pouvez légitimement douter de l’originalité d’une multitude de nouvelles cryptomonnaies naissantes, tant le gouffre de leur compréhension au niveau mondial est vaste.  Ces derniers jours, suite à l’élection de Donald J. Trump aux États-Unis d’Amérique, le mot ‘Bitcoin’ est à la une : des médias aux décideurs en passant par chaque personne qui s’intéresse à l’actualité. De quoi s’agit-il ? Quelle est la différence avec les autres cryptomonnaies ? Sont-elles des scams ? Bitcoin : les raisons de son existence. En 2008, le monde est sous le choc. Aux États-Unis, on parle de la crise financière, et de nombreuses familles sont en difficulté. Que s’est-il passé ?  La faillite d’une des plus grandes banques de l’époque, Lehman Brothers, en est la cause. Pourquoi ?  En raison d’un investissement massif de la banque dans le secteur immobilier, financé par de l’argent emprunté, sans anticiper la chute de la valeur de l’immobilier.  C’est dans ce contexte qu’un homme ou un groupe de personnes connu sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto a proposé une nouvelle forme de monnaie : le Bitcoin. Qu’est-ce que le Bitcoin ?  Lorsque deux personnes souhaitent effectuer une transaction à distance, elles doivent généralement se fier à un tiers, une banque, qui agit en tant que médiateur de confiance.  L’idée de Satoshi et de son innovation est de créer une monnaie numérique décentralisée, c’est-à-dire sans intermédiaire, facilement transmissible avec n’importe quel téléphone portable grâce à un système pair-à-pair.  C’est ainsi qu’est née la toute première cryptomonnaie, le Bitcoin, une monnaie cryptée limitée à 21 millions d’unités, échangeable entre deux personnes de manière plus ou moins anonyme, avec un historique de toutes les transactions conservées et pouvant être consulté grâce à la technologie de la blockchain.  Pourquoi alors peut-on créer une cryptomonnaie en 15 minutes ? Est-ce pour autant un scam ?  Pour le Bitcoin et les véritables cryptomonnaies, chaque transaction est consignée dans un registre sécurisé, connu sous le nom de blockchain. L’implémentation de ce système de registre nécessite des ressources considérables, ce qui a incité certains projets à s’appuyer sur une blockchain existante, appelés tokens, ce qui facilite leur déploiement. Le Bitcoin a-t-il des limites ?  La découverte du Bitcoin a eu un impact fulgurant, provoquant une onde de choc dans le monde de la finance. Cependant, il n’est pas sans limitations.  Au fil du temps, de nouvelles cryptomonnaies ont été créées pour surmonter certaines barrières du Bitcoin. Bien que ce dernier soit très connu, sa vitesse de transaction peut être frustrante, atteignant environ 600 000 transactions par jour, ce qui contribue à la sécurité de ses opérations. De plus, l’offre de Bitcoin est strictement limitée à 21 millions d’unités, ce qui en fait une ressource rare. Pour relever ces défis, certaines cryptomonnaies se sont concentrées sur l’accélération des transactions, parfois au risque de compromettre la sécurité, comme c’est le cas de Solana. D’autres, comme Ethereum, se consacrent à la création d’applications décentralisées, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles possibilités. Monero, quant à lui, met l’accent sur la sécurité, attirant ceux qui cherchent à protéger leurs échanges. La volatilité du Bitcoin a également donné naissance à des cryptomonnaies plus stables, souvent liées à des devises traditionnelles. Ces actifs, appelés stablecoins, incluent des exemples comme Tether, offrant une option moins risquée pour ceux qui souhaitent naviguer dans le monde des cryptomonnaies sans trop de fluctuations. Quelle leçon pour le Burundi ? Le monde des cryptomonnaies est en train de révolutionner le paysage économique, tant sa technologie est fascinante, bien que la méfiance demeure. Les cryptomonnaies ne peuvent, à elles seules, constituer un remède pour les pays en voie de développement, mais étant donné leurs multiples facettes, une exploration approfondie s’avérerait pertinente. Free Tech Institute

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Crypto awareness drive in Burundi

About In this program, we launched classes under the name Trezor Academy. About the classes Trezor Academy Burundi, a collaboration between Free Tech Institute and Trezor, aimed to expedite Bitcoin adoption in Burundi. It consisted of three consecutive Saturday meetups, educating youth about cryptocurrencies, their advantages, and practical applications. The series of meetups covered “Why Bitcoin?”, “How to Use Bitcoin?”, and “What Bitcoiners Should Do?” with insightful presentations, practical exercises, and certificate awards. We have already completed four cohorts Free Tech Institute

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