Twitter a un nouveau propriétaire, Voici ce qu’il devrait faire.

Avec ses politiques affectant près de 400 millions d’utilisateurs, Twitter: un réseau social qui fait face à des défis particuliers comme la lutte des tweets troublants de personnalités majeures qui peuvent devenir viraux en quelques minutes seulement, ……., il est désormais sous le total contrôle d’une seule personne : Elon Musk

Donc voici ce qu’il devrait faire…..

Interdire la publicité comportementale en ligne

Le saviez-vous que les entreprises technologiques réalisent des profits époustouflants en nous ciblant des publicités en fonction de notre comportement en ligne , ce qui transforme nos vie en livres ouverts.
D’autres entreprises publicitaires vont loin même en faisant des études sur ce qui pourraient être intéressants à acheter, à assister ou à voter
Donc, il est temps que le congrès et les États interdisent ce ciblage…..

Comment les réseaux LAN favorisent-ils les attaques des hackers ?

Par le fait que le télétravail est devenu essentiel dans les organisations locales, on remarque qu’il y a un développement remarquable du digital workplace ( ou espace de travail numérique)
Mais plus on fait confiance au monde web, plus le choc est lourd une fois une intrusion ravageuses de données attaque le système

Donc que faire ? Et….pour quelqu’un qui ne le maîtrise pas…..?

Le manque du carburant, un manquement aux NTIC burundaise.

Le carburant, cette monnaie courante qui, chaque année connait des bouleversements d’approvisionnement, devient point de chute pour le transport. L’essence devenu de l’or sur presque toutes les stations du territoire national, les chauffeurs en difficulté, les motards en peine, les utilisateurs de l’Internet et des NTIC en général sont en deuil…la relance de distribution, selon Advaxe Ndayisenga, serait une astuce de sauve la plus pratiques.

L’Afrique et la liberté individuelle, que faire?

La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies, adoptée en 1948 par 48 pays membres, dont trois d’Afrique (Égypte, Éthiopie, et Libéria), établit un cadre permettant aux pays membres de garantir les libertés fondamentales à leurs citoyens. La déclaration affirme les droits de tous les peuples à « la liberté de pensée, de conscience et de religion « (Article 18), « la liberté d’opinion et d’expression » (Article 19), « la liberté de circulation » (Article 13), et « la liberté de réunion et d’association pacifique » (Article 20), entre autres (Nations Unies, 1948). Plus récemment, la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples de 1981, ratifiée par 53 des 54 pays africains (le Sud-Soudan étant la seule exception), englobe également les droits à « la liberté individuelle » (Article 6), « la liberté de conscience » (Article 8), « la liberté d’expression » (Article 9), « la liberté d’association » et « la liberté de réunion » (Articles 10 et 11), et « la liberté de circulation » (Article 12) (Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, 1981). Et depuis leur adoption par tous les états membres de l’ONU en 2015, les Objectifs de Développement Durable (ODD) ont de nouveau appelé les gouvernements à « assurer l’accès du public à l’information et à protéger les libertés fondamentales, conformément aux législations nationales et aux accords internationaux » (ODD16.10) (Nations Unies, 2019).L’un des résultats les plus tangibles de la vague de libéralisation politique qui a déferlé sur la majeure partie de l’Afrique dans les années 90 a été la jouissance d’une plus grande liberté individuelle (en particulier la liberté d’expression, de réunion, et de mouvement) ainsi que la liberté des médias surtout. Cette régression a pris de nombreuses formes, notamment la fermeture de la compétition politique, la manipulation des élections, les restrictions croissantes à la liberté de la presse, et les exigences restrictives en matière d’enregistrement et de financement de la société civile. Elle a également pris la forme de nouvelles restrictions aux libertés individuelles d’expression, de réunion, de mouvement, et de vie privée. Le rapport 2019 de la Liberté dans le Monde de Freedom House, par exemple, fait état de reculs importants en Afrique au cours des 13 dernières années dans les domaines de la « liberté d’expression et de conviction », des « droits d’association et d’organisation », et de « l’autonomie personnelle et les droits individuels » (p. 7). S’il note des ouvertures importantes en Angola, en Éthiopie, et en Gambie, il décrit la tendance générale observée en Afrique en 2018 comme l’une des « restrictions rampantes » (p. 12). Ainsi, FREE TECH INSTITUTE fait appel aux nouvelles technologies d’informations et de la communications pour défendre l’unité du peuple et pouvoir sauver la partie manipulée sans soutien ni réveil. Le bon sens que prend ce contexte est de savoir quelle est la valeur de la vie privée d’un Africain? Les internautes ont quelles privileges par rapport aux données sauvées et/ou perdues par unité de temps? ksquadremake.freeti.org

Une Afrique virtuelle forte pour une liberté des données.

Depuis Décembre 2019, le monde est en lutte contre la pandémie COVID-19. Ce point en est sorti pour facteur incontournable du système de travail à domicile, le “ stay home” qui a obligé presque n’importe quelle entreprise à adapter le mode de travail.

Le code civil sauvera-t-il les vies privées des internautes?

Malgré d’innombrables points de soutien aux vies privées des internautes, l’émergence d’Internet change radicalement : les Photos volées puis publiées, contenus personnels partagés volontairement sur les blogs et les réseaux sociaux, et tout cela à l’insu de son propriétaire etc. Est-ce que nos droits obligent-ils ceux des autres ? Le droit du respect à la vie privée La vie privée de tout individu est protégée par l’article 9 du Code civil depuis le 17 juillet 1970,@ Ce dernier dispose que « chacun a droit au respect de sa vie privée . Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres, propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l’intimité de la vie privée; ces mesures peuvent, s’il y a urgence, être ordonnées en référé ». Et la vie sur internet? Les internautes sont toujours protégés par leur droits civils partout où ils se trouvent. Leur propriété privée reste la leur dans n’importe quel endroit comme l’affirme la jurisprudence en arrêt du 23 octobre 1990 : « Toute personne, quels que soient son rang, sa naissance, sa fortune, ses fonctions présentes ou à venir, a droit au respect de sa vie privée ». Si la vie privée est une notion juridique, son contenu a toutefois été précisé par la jurisprudence. Ce dernier peut évoluer en fonction des mœurs et de la société. Par exemple, la vie sentimentale, la vie affective, la vie conjugale, la santé, les convictions personnelles ou encore les loisirs entrent dans la notion de vie privée. Mais certains paramètres peuvent nous laisser utiliser les propriétés des autres! L’autorisation volontaire Il est tout à fait possible d’autoriser un tiers à utiliser son image, et ce, même lorsqu’il s’agit d’un cliché ou d’un document provenant de la sphère privée. Cette autorisation doit être spéciale, expresse et sans équivoque. Actualité Le débat d’intérêt général est mis en avant par la Cour de cassation La protection de la vie privée n’est donc pas prioritaire lorsqu’il s’agit d’informations liées à l’actualité. Il peut s’agir d’une chose la plus pertinente et cela en devient actualité de diffusion. Notons néanmoins que l’atteinte à la dignité humaine est sanctionnée, et ce, quel que soit le contexte. Savez-vous d’autres points qui nous laissent libres de publier la propriété d’autrui sans contrainte ? ksquadremake.freeti.org

Quel est l’impact de la guerre froide à celle civile russo-ukrainienne sur leur développement logiciel ?

Pendant que de nombreux géants mondiaux de la technologie dans les secteurs des logiciels et des services ont fait appel à des développeurs russes et d’Europe de l’Est dans le passé en raison de la qualité de leur travail et de leur rapport qualité-prix. Nombre d’entre eux ont investi des centaines de millions de dollars pour assurer la présence de développeurs et de revendeurs en Russie comme en Ukraine. L’Ukraine et la Russie sont devenues ennemies officielles depuis les premiers jours du mois de février 2022. Pour Advaxe Ndayisenga, analyste: »cette guerre date d’un temps moins négligeable et est loin d’être simple comme certains pourraient le penser ». Que cela pourra impacter les deux pays sur leur plan de développement logiciel? Et sur la sécurité des données ? Les deux derniers mois ont montré une intensification des attaques informatiques visant les services et systèmes informatiques ukrainiens. Mais cela fait plusieurs années que ce pays fait face à ce type d’incidents et que les services de renseignement du pays pointent du doigt la Russie comme l’origine des attaques. Cela en est pris un grand nombre de risques sur les données virtuelles ukrainiennes et en sorte une peur et instabilité nationale et environnante.Une guerre civile ou politique? Tous les doutes créés au niveau de la technologie ukrainienne sont accompagnés par la montée des tensions diplomatiques entre l’Ukraine et la Russie ce qui s’est produit le jeudi 23 février 2022 par une attaque des troupes russes sur le territoire ukrainien. Au fur du temps, il y a eu une augmentation significative du nombre de cyberattaques signalées contre des institutions, des organisations ukrainiennes et la population en général. Les attaques contre des infrastructures telles que l’énergie, l’eau, les soins de santé, les institutions financières, les transports et les services de communication peuvent avoir des conséquences dévastatrices sur la population civile. Au-delà des risques pour les infrastructures critiques et les biens civils, les cyberattaques sèment la méfiance et limitent l’accès à des informations exactes ou propagent de fausses informations. Ils peuvent également être très perturbateurs et créer un sentiment de peur et d’incertitude et même conduire à terme au déplacement de personnes. Et le milieu environnant ? L’accord d’association entre entre l’Ukraine et l’Union Européene, de son nom complet l’Accord d’association entre l’Union européenne et la Communauté européenne de l’énergie atomique (CEEA) et leurs États membres, d’une part, et l’Ukraine, d’autre part, du mois de juin 2014, serait le point déclencheur du conflit diplomatique et militaire entre la Russie et l’Ukraine. La guerre virtuelle conserve toutes les notions de complicité de la résolution faute d’une reconnaissance probable des mesures favorables. Les risques en restent moins négligeables. Les attaques aériennes, sous contrôles logiciels, suivront toujours les cibles sans laisser l’environnement sain. Certes, les défenses d’intervention pour l’Ukraine, soit en provenance de l’Europe entière saura créer un climat de bataille sur tout le continent et pourrait affecter le monde entier. Comme l’explique Stéphane Duguin, directeur de CyberPeace Institute « il s’agit d’un conflit en cours, avec un impact sur les populations civiles, et il est important de suivre l’évolution des attaques informatiques, car leurs effets n’affectent pas uniquement la population ukrainienne, elles pourraient avoir des effets de bord en dehors des frontières du pays ». Le risque à courir, en Afrique, sera certainement celui des suites de l’impact du Covid-19, qui a renforcé l’utilisation de l’internet et/ou des outils du web pour le travail quotidien dans la bonne manière de travailler chez soi pour la protection contre le coronavirus. Les associations afro-ukrainiennes sont déjà en attaques et subissent le sort des victimes de la guerre. Le monde logiciel est enfin introduit dans une guerre des idées dès lors, le vol des données devient ainsi une défense de propagation des politiques de gestion des conflits russo-ukrainienne et cela prend en compte tous les pays du monde entier. ksquadremake.freeti.org