Women in ICT, 2023

Célébration de journée internationale des jeunes filles dans les TIC

L’événement de la journée internationale de jeunes filles dans les TIC a été un grand succès ! Avec la participation de plus de 50 jeunes filles et 23 garçons, on a organisé l’événement dans le but de promouvoir les compétences numériques auprès des jeunes filles. Le thème de l’événement était “Des compétences numériques pour la vie”, et il a été conçu pour aider les jeunes filles à acquérir les compétences dont elles ont besoin pour réussir dans notre monde plus connecté que jamais. (Pour plus de détails : https://bit.ly/3WLGTMh )

Déroulement de l’événement 

L’événement a été organisé dans le cadre de la célébration de la journée international de la jeune fille dans les TIC, on a mis en place un programme passionnant pour les jeunes filles. Les participantes ont eu l’opportunité d’assister à des présentations sur les compétences numériques, ainsi que des échanges et des séances de réseautage. Les présentateurs ont abordé des sujets tels que : «  le cadre dans lequel on a organisé cet événement » une présentation qui a été faite par le Directeur Exécutif de Free Tech Institute, suivie par la présentation du fondateur et direct de InterLocation Burundi sur « l’importance de la participation des filles dans les TIC et dans le développement du pays », après DON DHIALLO DJUMA a exposé sur « le système de communication et les technologies d’information au service de la communauté », et on a enfin terminé par la présentation très attendu, riche en témoignage, et en conseils par une jeune fille Ingénieur informaticienne Elodie ISHIMWE sur la journée internationale des jeunes filles dans les TIC. 

La séance de réseautage a été particulièrement populaire auprès des jeunes filles, qui ont eu l’occasion de discuter avec les conférenciers et d’autres jeunes qui partages les mêmes envies. Le Staff de Free Tech Institute a été ravie de voir à quel point les jeunes filles étaient enthousiastes et engagées dans les échanges.

Les jeunes filles ont également eu l’occasion de rencontrer Elodie ISHIMWE travaillant dans le domaine des TIC, qui a partagé son expérience et son parcours professionnel. Les participantes ont été inspirées par les histoires de réussite et ont pu poser des questions sur les défis et les opportunités dans le monde des TIC.

Dans l’ensemble, l’événement a été un grand succès. Les jeunes filles ont eu l’opportunité d’apprendre de nouvelles compétences, de rencontrer des professionnels du domaine et de se connecter avec d’autres jeunes filles partageant les mêmes intérêts. Nous espérons que cette journée aura inspiré les jeunes filles à poursuivre leur passion pour les TIC et à poursuivre leur développement de compétences numériques tout au long de leur vie.

Par BARAKANA Guy-Eudes

Digital Voices Competition

La compétition “Digital voices” a été un événement passionnant qui a réuni des jeunes de trois lycées différents. Les participants ont travaillé dur pour être les meilleurs et remporter les prix proposés. La compétition a été organisée après un trimestre de formation basée sur le manuel des clubs “Jardin des Leaders du Net”, qui a été conçu par Free Tech Institute pour aider les jeunes à acquérir des compétences en leadership et en technologie.

Les jeunes ont été formés intensivement avant la compétition pour se préparer aux différents défis qui leur seraient proposés. Nous avons créé des épreuves variées pour tester les compétences des participants, passant par des jeux à des slams, des dissertations et à des Sketch. Les épreuves ont été conçues pour encourager les jeunes à travailler en équipe, à résoudre des problèmes de manière créative et à mener une réflexion autour de l’avenir des TIC, de l’équité genre dans le domaine des technologies enfin de développer leur confiance en eux.

Les participants ont travaillé dur pendant la compétition, donnant le meilleur d’eux-mêmes pour réussir les différentes épreuves. Les juges ont été impressionnés par le niveau des compétences techniques et de leadership des jeunes, qui ont travaillé avec calme et détermination, malgré la pression de la compétition.

 Après une journée intense de compétition, les gagnants ont été annoncés lors d’une cérémonie de remise des prix. Les trois meilleures équipes parmi six équipes de trois établissements ont reçu des prix en argent et des certificats de réussite pour leur travail acharné et leur dévouement. Les participants ont été ravis de recevoir ces récompenses, qui ont reconnu leur travail acharné et leur engagement dans la compétition et long du programme.

Vu qu’on a dépassé les objectifs qu’on s’est fixés, on a conclu que la compétition “Digital voices” a été un grand succès, il a offert aux jeunes une opportunité unique de développer leurs compétences en leadership et en technologie. On a compté 1237 étudiants qui ont participé à nos programmes et événements venant de trois établissements, respectivement : le Lycée Christ Roi de Mushasha ; le lycée Pacis de Gitega et le lycée Sainte Thérèse de Gitega. Les participants ont été inspirés par les défis proposés et ont acquis des compétences précieuses tout en s’amusant. Nous espérons que cette compétition sera le début d’une longue carrière pour certains de ces jeunes leaders du net.

Par Barakana Guy-Eudès

Watch and Learn Program

Avec comme objectif : Sensibiliser les gens aux questions omniprésentes des droits de l’homme qui touchent notre communauté ; inspirer l’action collective et élargir les ressources. On a fait la projection des films documentaires en partenariat avec The Why foundation dans trois provinces du pays, respectivement la province de Ngozi, Gitega et Bujumbura. Donc, c’est dans ce cadre qu’on a lancé notre toute première projection de films documentaires qui s’inscrit dans la série de projection « Watch and Learn ».
Pour plus de détails, clique sur les liens suivants Lycée du Christ Roi de Mushasha , American corner Ngozi , Lycée du Saint Esprit

En effet, Watch and Learn est un programme de sensibiliser les gens aux questions relatives aux droits de l’homme. Il vise aussi à promouvoir les droits de l’homme et l’égalité des sexes. En fournissant des ressources éducatives et informatives, ce programme encourage les individus à approfondir leur compréhension des questions clé liées à des sujets importants. On veut faire ce programme dans des écoles, des universités, des orphelinats et d’autres centres culturels. À travers des films, des documentaires et des conférences qui suscitent la réflexion, “Watch and Learn” vise à inspirer les téléspectateurs à agir dans leurs communautés, leurs milieux scolaires et leurs provinces natales.

Notre public cible

Que vous soyez un éducateur ou que vous cherchiez simplement à approfondir vos connaissances sur les droits humains et l’égalité des sexes, « Watch and Learn » est une ressource essentielle pour toute personne engagée dans la justice sociale.

Le premier tour de projection a été effectué dans trois lieux différents, notamment l’American corner de Ngozi ; le lycée du Saint-Esprit de Bujumbura et au Lycée Technique Christe-Roi de Mushasha. La première projection a connu la participation de 107 intervenants qui étaient majoritairement composés par des filles, la deuxième par 97 élèves et enfin la plus populaire était celle de Mushasha avec 402 participants, tous pour assister à un film qui parlait de la vie de petites filles victimes de la Maturation Génitale Féminines (MGF) au Nord de la Tanzanie. L’objet de ce film était de montrer au public qui était présent comment ils peuvent dénoncer et éradiquer les violences basées sur le genre sous une ou autres formes dans un monde où l’OMS estime que 200 millions de femmes et de filles dans le monde ont subi des mutilations génitales féminines et l’UNFPA estime 68 millions le nombre de filles qui risque de la pratique entre 2015 et 2030. Nous espérons que ce programme va toucher la majorité de la population burundaise et on invite des personnes, des bailleurs et d’autres partenaires qui sont intéressés à promouvoir les droits de l’homme de nous rejoindre dans ce programme.

Leadership Conference

Une conférence hors du commun organisée conjointement par EmergeLead et Free Tech Institute, ce samedi, le 8 octobre 2022. Signée sous le thème : ” Leadership, amour, finances : les bons repères pour faire la différence”, c’est une conférence qui a réuni différents leaders, étudiants de différentes universités du Burundi et qui a vu la participation de Monie Tchriffo, ivoirienne et fondatrice d’EmergeLead.

En effet, la conférence était articulée en trois sessions dont la session d’ouverture, la présentation de différentes thématiques sur le programme, la mission, la vision d’EmergeLead et les perspectives mis en avant pour l’avenir.

Session d’ouverture

Les premiers intervenants qui étaient entre autres le représentant de Free Tech Institute et Aymeric Noël Murago membre d’EmergeLead Burundi, Ont présenté leurs organisations respectives et une vue d’ensemble de la conférence. C’est dans cette même partie que Belyï Nobel KUBWAYO de Free Tech a lancé solennellement les activités du jour.

Entre temps, avant ladite conférence, il y a eu une séance de questions-réponses par un journaliste avec comme but de connaître les attentes. Donc, quelques intervenants se sont exprimés positivement le long de cette séance.

C’est alors après l’annonce de la modératrice que c’est l’oratrice Monie qui va s’introduire sur la scène que la plupart ont eu l’image en long et en large de la conférence relativement à ce qu’ils pensaient.

Mission, vision et perspectives mises en avant pour l’avenir par EmergeLead.

Avant d’entamer le thème, Mme Monie a dit : ” notre mission, c’est d’Inspirer, former et accompagner les jeunes dans leur prise de leadership et leur participation active aux efforts de développement de leurs nations. “

” Nous voulons étendre nos activités, impacter et éveiller les jeunes des pays francophones d’abord et la jeunesse des pays anglophones après, nous nous sommes donnés l’initiative de forger les leaders dont nos pays ont besoin, en développant la culture de l’honneur, d’intégrité et de la richesse afin de se lever, poser le regard différent sur la façon de voir les choses et apporter la contribution aux progrès du monde. ” A-t-elle ajouté.

D’abord dans sa présentation sur le leadership, elle a démontré que le leadership ne pas lier à la famille, ou, aux origines et que nous avons tous l’envie de briller, de sortir de l’obscurité donc que ce n’est qu’une question de mindset, alors il faut prendre le premier, mais en toute connaissance que le plus difficile ne pas de conquérir, c’est plutôt de garder cette place, c’est ce que les européens, les américains ont compris, de même pour Lee Kuan Yew, la personne qui a fait le Singapour et tant d’autres Leaders.

Ensuite, en ce qui est de la culture d’intégrité, elle l’a synthétisée en seulement deux mots : le respect et l’humilité. Mais, c’est l’humilité qui est tout à fait le contraire de la soumission, donc l’humilité d’apprendre; d’avoir des modèles de comportement positifs; et de respecter.

Enfin, sur l’amour et la sexualité, elle a fait signaler qu’il faut tout d’abord réussir la famille pour devenir leader. Donc, il faut choisir un partenaire qui te rend meilleur et se méfier de toute relation qui peut te mettre en péril

Pour couronner le tout, nous voilà arrivés au terme de cette conférence, une conférence qui a sans doute répondu à vos attentes vu les réponses données par les interviewers après l’événement et vu que ça a suscité des réflexions à l’exemple de la personne qui n’a pas hésité à comparer l’oratrice à David Laroche dans wakeUpCalls.  Enfin, la réussite de cette conférence s’est aussi manifestée à travers l’envie de beaucoup de participants à savoir autant sur les programmes de Free Tech et d’EmergeLead. Rendez-vous donc dans nos prochaines conférences, que ce soit en ligne ou en présentiel.

                                                                                               Par BARAKANA Guy-Eudès

                                                                                    Content specialist of Free Tech Institute

Copyright Workshop

Avec comme objectif : améliorer les connaissances des participants sur l’importance du droit d’auteur à l’ère du numérique et avoir la compréhension accrue du cadre légal régissant le droit d’auteur, l’équipe Free Tech Institute a fait un atelier hybride qui s’est tenu en présentiel et sur Zoom dans le programme Talk Tech Liberty.

En effet, cet atelier immersif et hors de l’ordinaire a vu la participation de différents artistes et amateurs du monde web. Tous venus pour développer leurs connaissances auprès des pénalistes professionnels et experts.

” Qui aurait deviner sans l’orientation de REGINE MIREILLE Niyongabo, Avocat collaboratrice, RUBEYA & CO-ADVOCATES et Membre de DLA Piper Africa, que pas seulement que les auteurs ont des intérêts matériels découlant de leurs productions, on doit également savoir que la loi reconnaît à l’auteur des droits moraux dont l’objet est de protéger, à travers l’œuvre la personnalité de l’artiste. Pour dire que ce lien particulier du droit moral avec la personnalité de l’auteur explique ses particularités.” Tel était un commentaire de FERNAND JÉSUS Mukunzi, participant en présentiel de l’atelier.

Alors que faire ?

De son côté, la vice-présidente de l’amicale des musiciens et Manager de Bantu Bwoy a rappelé que les artistes doivent enregistrer leurs œuvres auprès de l’Office Burundais du Droit d’Auteur (OBDA) pour professionnaliser et protéger leurs travaux.

Elle a ajouté aussi que les droits d’auteur doivent être bien protégés afin que nos artistes gagnent en contrepartie, ce qui va favoriser la croissance des artistes.

Comment qualifiez-vous les artistes ?

Pour DACIA Munezero, chargée de la communication et relations publiques chez Yaga : “Les artistes sont eux aussi des entrepreneurs, ils ont besoin d’un certain capital pour promouvoir leurs œuvres ou bien créer de l’art toujours plus impressionnant.

Alors, pour utiliser une œuvre protégée par les droits d’auteur, il faut recueillir l’autorisation du titulaire des droits soit par une licence ou bien par une cession des droits.

Et si on essaie de comparer avec d’autres pays de la sous-région, que pourraient être vos commentaires ?

Bah, on voit qu’ailleurs les artistes vivent de leur art, ce qui n’est pas le cas chez nous.

Que prévoit alors Free Tech Institute ?

Sur cette question Belyï Nobel KUBWAYO, le Directeur exécutif a répondu en disant que l’organisation prévoit des sensibilisations, faire des recueils des données, effectivement en partenariat avec les

institutions œuvrant dans la promotion artistique.

Pour ensuite en faire une base de données. C’est ce qu’aidera à produire des documents qui auront des données chiffrées à l’appui et comme résultat les amateurs du monde web auront un total accès à ces documents précieux.

Donc, aujourd’hui, avec la mondialisation, le domaine artistique est assez développé par rapport à la forme traditionnelle d’exploitation, aujourd’hui, c’est le numérique, aujourd’hui, c’est le digital et pour parier à tous ces challenges, il faut se mettre alors au diapason.

Par Guy-Eudès Barakana

Atelier : Gestion de la vie privée et les bonnes pratiques sur les réseaux sociaux

Dans ce siècle, les choses sont en train de devenir plus numérique que physique, et au moment où certains se battent pour construire leur identité numérique d’autres récoltent les données de ces derniers à de différentes fins et utilisations, de plus, le pire, c’est que la plupart des internautes utilisent les technologies de l’information et de Communication en toute ignorance de bonnes pratiques qui régissent ce monde virtuel, donc, c’est pour cette allégation que Free Tech Institute a organisé une conférence hybride aux enceintes de l’alliance franco-burundaise de Gitega. En effet, pour ce qui est de la gestion de la vie privée, on sait que les informations peuvent être volées ou utilisées à des fins criminelles allant jusqu’à une usurpation d’identité et autres, donc que faut-il faire pour limiter les menaces de la vie privée ?

Contexte actuel et gestion de la bonne pratique sur les réseaux sociaux.

D’après les données publiées par Képios, le taux de pénétration d’Internet au Burundi s’élève à 14,6 % de la population totale et nous avons 763 800 utilisateurs de médias sociaux, cela veut dire 6,1 % de la population totale. En ce qui est de la bonne pratique, c’est une affaire personnelle, mais comment un internaute lambda saurait de quel monde il navigue ?

En voici quelques astuce

De WhatsApp à Facebook, en passant par Instagram et Twitter, tous ces réseaux sociaux ont des particularités pour dire que dans le monde web, on ne mélange pas les torchons et les serviettes.

Donc, il faut connaître l’audience en question et avec ce principe vous aurez compris qu’il ne faudra pas partager votre quotidien ou des photos à la piscine sur LinkedIn ou Twitter pour dire que dans ce cas, elles auront plus de célébrités sur Instagram ou Snapchat.

De même sur les réseaux sociaux, il ne faudra pas être à la fois économiste, footballeur et basketteur. Il faut cadrer votre personnalité, comme ça, les algorithmes pourront vous suggérer et vous lancer un fil d’actualité plein de gens qui ont les mêmes intérêts professionnels que vous.

Alors, qu’en est-il de la gestion de la vie privée ?

Sans se rendre compte, en ne pensant qu’aux facteurs qui nous poussent à s’exposer dans la communauté virtuelle, nos vies sont complètement assimilées à un dénigrement humain et à d’autres problématiques de la protection de la vie privée. C’est suite à cela que le gouvernement à promulguer une série de lois à l’exemple du dernier qui est la loi N°1/10 du 16 mars 2022 portant prévention et répression de la cybercriminalité au Burundi.

Mais, pas pour dire qu’on est à l’abri des dommages, on sait que dans le cyberespace, les choses vont vite, on ne peut pas dire qu’on a un arsenal juridique qu’il faut pour parier aux diffamations et aux autres crimes qui sont propagés.

Finalement on pourra conclure qu’il reste trop de choses à faire, vu que ce monde est en avance et que la loi peine à nous protéger, alors le meilleur reste à faire pour avoir des résultats conformes à ce qui est souhaité.

Par Guy-Eudes Barakana

Global Encryption Day,2022

Le 22. Octobre. 2022, a été célébrée à Gitega la journée mondiale du chiffrement avec comme thème l’internet doit aller avec plus de chiffrement, une journée qui visait à montrer le vrai sens du cryptage de bout à bout. Animé par les experts de l’écosystème numérique, l’événement a vu la participation des jeunes amateurs du monde web sélectionnés parmi plus de cent candidatures.

Selon l’ingénieur technicien Christophe Ndayizeye  de la société de télécommunication Viettel Burundi: on est dans le contexte où tout le monde tend à utiliser les réseaux sociaux, mais en pleine ignorance des notions du chiffrement ; comment ça marche ou bien pourquoi on en a besoin ? Donc, c’est dans l’optique de promouvoir le chiffrement fort que ce soit en ligne ou hors ligne que Free Tech Institute a organisé cet événement.

Le quid du chiffrement fort selon les experts

Dans sa présentation, l’ingénieur Christophe avant de monter des exemples concrets, il a commencé à définir le cryptage dans de langages techniques à l’appui des jargons informatiques et c’est le long de sa présentation qu’il a spécifié le cryptage dans le langage simple comme une discipline qui traite la transmission confidentielle des données.

De plus, Il a bel et bien signalé qu’il y a deux types de cryptage à savoir le cryptage à clé privée et à clé publique. Donc, le cryptage à clé privée également appelée clé secrète, est une variable en cryptographie qui est utilisée avec un algorithme pour chiffrer et déchiffrer le code. Les clés secrètes ne sont partagées qu’avec le générateur de clés, ce qui les rend hautement sécurisées.

Par contre, la clé publique permet de chiffrer un message ou un document, tandis que la clé privée permet de le déchiffrer. Ceci garantit que seul le destinataire choisi peut déchiffrer et lire le contenu.

Enfin, du point de vue du Dr. Ir. Gateka Perry saxe et PDG du réseau social Gasape SN, le chiffrement est un moyen de brouiller les données afin que seules les parties autorisées puissent comprendre les informations.

Il a ajouté que ce n’est pas seulement les organisations criminelles et terroristes qui traquent nos données, on est parfois traqué par les autorités ou bien les sociétés de télécommunications et c’est le cas dans le monde entier, il s’agit seulement que les données soient hautement sensibles pour qu’il ait une attaque. Donc, c’est à tout un chacun de choisir avec vigilance la plateforme sur laquelle transite ses informations confidentielles.

Par Guy-Eudès Barakana