Talk Tech Liberty
Talk Tech Liberty (TTL) est un programme de blogging que nous avons lancé pour diffuser les idées de liberté technologique et économique basée sur le web (Fintech) via nos plateformes en ligne.
Talk Tech Liberty (TTL) est un programme de blogging que nous avons lancé pour diffuser les idées de liberté technologique et économique basée sur le web (Fintech) via nos plateformes en ligne.
Fintech Bootcamp est un atelier de formation de trois jours où les participants sélectionnés qui ont des idées innovantes et génératrices de revenu apprennent à utiliser l’Internet d’une manière rationnelle et rentable ainsi que les concepts de la liberté technologiques et économiques. Le programme est dispensé par des professeurs chevronnés de la finance, de la liberté économique et des sciences de traitement des données. À la fin du Bootcamp, les étudiants auront renforcé leur curriculum vitæ et leur compétence technique pour mieux investir en Fintech. Ce cours offre également une mise à jour gratuite pour que les étudiants puissent actualiser leurs connaissances. Free Tech Institute
L’image du marche libre est nécessairement celle de l’harmonie et du bénéfice mutuel; l’image de l’intervention de l’Etat est celle du conflit de caste, de la coercition et de l’exploitation. Free Tech Institute
L’image du marché libre Read More »
Par le fait que le télétravail est devenu essentiel dans les organisations locales, on remarque qu’il y a un développement remarquable du digital workplace ( ou espace de travail numérique)
Mais plus on fait confiance au monde web, plus le choc est lourd une fois une intrusion ravageuses de données attaque le système
Donc que faire ? Et….pour quelqu’un qui ne le maîtrise pas…..?
Comment les réseaux LAN favorisent-ils les attaques des hackers ? Read More »
Les chiffres de Kepios révèlent que 10.62 millions de personnes au Burundi n’utilisaient pas de l’Internet au début de l’année 2022, ce qui signifie que 85,4 % de la population restait hors ligne le début de l’année. Free Tech Institute
Le taux de pénétration Burundi 2022 Read More »
Le carburant, cette monnaie courante qui, chaque année connait des bouleversements d’approvisionnement, devient point de chute pour le transport. L’essence devenu de l’or sur presque toutes les stations du territoire national, les chauffeurs en difficulté, les motards en peine, les utilisateurs de l’Internet et des NTIC en général sont en deuil…la relance de distribution, selon Advaxe Ndayisenga, serait une astuce de sauve la plus pratiques.
Le manque du carburant, un manquement aux NTIC burundaise. Read More »
La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies, adoptée en 1948 par 48 pays membres, dont trois d’Afrique (Égypte, Éthiopie, et Libéria), établit un cadre permettant aux pays membres de garantir les libertés fondamentales à leurs citoyens. La déclaration affirme les droits de tous les peuples à « la liberté de pensée, de conscience et de religion « (Article 18), « la liberté d’opinion et d’expression » (Article 19), « la liberté de circulation » (Article 13), et « la liberté de réunion et d’association pacifique » (Article 20), entre autres (Nations Unies, 1948). Plus récemment, la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples de 1981, ratifiée par 53 des 54 pays africains (le Sud-Soudan étant la seule exception), englobe également les droits à « la liberté individuelle » (Article 6), « la liberté de conscience » (Article 8), « la liberté d’expression » (Article 9), « la liberté d’association » et « la liberté de réunion » (Articles 10 et 11), et « la liberté de circulation » (Article 12) (Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, 1981). Et depuis leur adoption par tous les états membres de l’ONU en 2015, les Objectifs de Développement Durable (ODD) ont de nouveau appelé les gouvernements à « assurer l’accès du public à l’information et à protéger les libertés fondamentales, conformément aux législations nationales et aux accords internationaux » (ODD16.10) (Nations Unies, 2019).L’un des résultats les plus tangibles de la vague de libéralisation politique qui a déferlé sur la majeure partie de l’Afrique dans les années 90 a été la jouissance d’une plus grande liberté individuelle (en particulier la liberté d’expression, de réunion, et de mouvement) ainsi que la liberté des médias surtout. Cette régression a pris de nombreuses formes, notamment la fermeture de la compétition politique, la manipulation des élections, les restrictions croissantes à la liberté de la presse, et les exigences restrictives en matière d’enregistrement et de financement de la société civile. Elle a également pris la forme de nouvelles restrictions aux libertés individuelles d’expression, de réunion, de mouvement, et de vie privée. Le rapport 2019 de la Liberté dans le Monde de Freedom House, par exemple, fait état de reculs importants en Afrique au cours des 13 dernières années dans les domaines de la « liberté d’expression et de conviction », des « droits d’association et d’organisation », et de « l’autonomie personnelle et les droits individuels » (p. 7). S’il note des ouvertures importantes en Angola, en Éthiopie, et en Gambie, il décrit la tendance générale observée en Afrique en 2018 comme l’une des « restrictions rampantes » (p. 12). Ainsi, FREE TECH INSTITUTE fait appel aux nouvelles technologies d’informations et de la communications pour défendre l’unité du peuple et pouvoir sauver la partie manipulée sans soutien ni réveil. Le bon sens que prend ce contexte est de savoir quelle est la valeur de la vie privée d’un Africain? Les internautes ont quelles privileges par rapport aux données sauvées et/ou perdues par unité de temps? Free Tech Institute
L’Afrique et la liberté individuelle, que faire? Read More »