Free Tech Institute

Et si la musique prenait pilier à la culture ?

Alors que la dénaturation de certains principes ancestraux s’accentue de plus en plus ces derniers temps, plusieurs questions se posent chez la majorité des patriotes soucieux de voir nos chères stars s’écarter du jour au jour de ces principes. Jusqu’où ira cette nudité exposée dans ces œuvres musicales ? Comment pouvoir y remédier ? Eh bien, nombreux points d’interrogation restent bloqués dans certaines pensées et quand on cherche partout, on ne trouve que dalle ! En effet même pour ceux qui ne cessent de subir des châtiments, ceux qui le qualifieraient d’injustice n’auraient presque pas tort. Tenons par exemple l’affaire du fameux délégué général, de son vrai nom Olegue. Déjà, quelques mois, qu’il est en prison après la célèbre vidéo qu’il a posté sur les réseaux sociaux pour faire la publicité de son concert. Bien que certains accusent Olegue d’avoir mis son doigt dans un verre qui ne se touche pas, l’Église catholique. Jusque-là, aucune loi ne condamne ce musicien. Pourtant, la justice semble bien loin à s’offrir à lui. Reste à voir combien devront tomber dans le même gouffre avant que les responsables ne prennent les décisions nécessaires. Mais devrions-nous vraiment attendre ? Il arrive un temps où les responsables de la culture burundaise de même que ceux de la musique, là, je citerai par exemple l’amicale des musiciens, devraient prendre des mesures nécessaires pour remédier à toutes ces atteintes à la culture et surtout pouvoir éduquer ces artistes qui semblent s’en écarter du jour au jour. Certains pays, que je ne citerai pas, semblent avoir déjà compris le concept et cela ne semble avoir eu aucun mauvais effet quant à l’effectif de leurs nombres de vues. Ce ne serait certes pas facile de démolir ces habitudes étrangères d’un coup, mais de petites mesures, de légers lois instaurées du jour au lendemain, de petits pas nous feront arriver à une grande étape ; comme l’on dit, de petits cailloux qui feront une grande montagne. Alors si de ces écrits une requête se lance à la rescousse de cette culture et des générations à venir, peut-être que cette voix atteindra les faiseurs de civilisation et qui sait, peut-être un nouveau changement sauvera la situation ? Par Chrétienne NIKUZE Free Tech Institute

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Le Bitcoin à seulement quelques kilomètres du Burundi, que faut-il savoir sur cette monnaie ?

Après le Salvador, la République Centrafricaine vient à son tour d’adopter en mai dernier le Bitcoin comme monnaie légale. À seulement 1491km, un pays qu’on a les quelques liens communs, un pays, qui a d’ailleurs un taux de pénétration internet faible de 11 %, presque semblable à celui du Burundi notre pays (14,6 %), mais qui n’a pas hésité à se lancer jusqu’à même créer sa propre crypto-monnaie le Sango. Alors pourquoi ne pas parler de ce sujet dans notre pays ? Cette crypto-monnaie, conduira-elle à l’ascension économique de la RCA ou, à sa descente aux enfers ? Mettons tout cela de côté et parlons plutôt de ce type de monnaie. En effet, vu que théoriquement, il y a une probabilité pour ne pas dire une forte probabilité que les crypto-monnaies pourraient devenir plus populaires que la monnaie physique à l’avenir dont j’ignore. Parlons alors aujourd’hui du Bitcoin qui est le plus réputé parmi une multitude de crypto-monnaies qui existent. Comme la plupart des Centrafricains, la majorité de la population burundaise ignore l’existence du Bitcoin. Alors qu’est-ce le Bitcoin ? Le Bitcoin est une forme de monnaie électronique donc virtuelle lancé en 2009 par le mystérieux personnage Satoshi Nakamoto, pour le Bitcoin il n’y a pas de point central de contrôle (il n’y a pas de banque.), pas de point central de stockage des transactions, au fait, les unités monétaires électroniques sont échangés sur un réseau informatique qui possède certaines propriétés uniques. Pourquoi un gouvernement voudrait-il utiliser en parallèle ou bien utiliser plus de Bitcoin au lieu de l’argent ? Il y a plusieurs raisons, prenons le cas de la République Centrafricaine où le président Faustin Archange Touadéra a déclaré que la Crypto-monnaie aide les pauvres à prendre le contrôle de leurs investissements. Et à part ça, il y a beaucoup d’autres raisons, mais avant d’ajouter quoique ce soit, il est important que nous sachions les avantages et les inconvénients d’y investir. De cette façon, nous saurons dans quoi la République Centrafricaine s’est engagé ou bien un autre pays pourrait s’engager. Alors quels sont les inconvénients ? Le Bitcoin est une monnaie déflationniste, et c’est sûr qu’il est très volatile, de plus l’investissement en Bitcoin ne pas réglementer par aucune institution ce qui donne accès à de nombreuses escrocéries, enfin, les problèmes de sécurité : si vous ne gardez pas votre compte numérique en sécurité, vous pouvez perdre tout et vous ne pouvez pas aller à aucune institution juridique. Par contre, le Bitcoin a aussi de multiples avantages comme : L’absence des banques ou autorité centrale qui peuvent imposer les frais des transactions ou les restructurations. De plus, si vous avez déjà transféré de l’argent à l’étranger, il n’y pas de taux d’échange à gérer. Une autre chose plus importante est que, contrairement aux billets qui sont contrôlés par la Banque Centrale donc, nous savons tous que, dans ce cas pour qu’il ait une telle somme de monnaie en circulation dépend d’une politique, mais le Bitcoin n’est pas du tout contrôlé ou bien limité par personne, il est influencé par la loi de l’offre et de la demande. Par Barakana Guy-Eudès Free Tech Institute

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Nos vies numériques reposent sur un régime d’utilisation équitable robuste, flexible et stable

Une grande partie de ce que nous faisons en ligne consiste à reproduire du matériel protégé par le droit d’auteur, à le modifier et/ou à créer de nouvelles œuvres. Techniquement, presque tous les tweets originaux sont protégés par le droit d’auteur. Et la grande majorité des mèmes sont basés sur des œuvres protégées par le droit d’auteur. Vos modifications amusantes, vos mashups et vos blagues photoshoppées transforment des œuvres protégées par des droits d’auteur en de nouvelles. Une communication efficace a toujours inclus un pool de références partagé pour faire comprendre clairement les points. Et maintenant, nous le faisons en ligne.

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Déclaration de l’EFF sur la déclaration pour l’avenir d’Internet

La Maison Blanche a annoncé le 28 Avril 2022 que soixante et un pays ont signé la Déclaration pour l’avenir d’Internet. La vision et les principes de haut niveau exprimés dans la Déclaration – disposer d’un réseau mondial unique véritablement ouvert, favorisant la concurrence, respectant la vie privée et l’inclusion, et protégeant les droits de l’homme et les libertés fondamentales de tous – sont louables.

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Et quand les mœurs se perdent à la quête des vues

Ils sont encore nombreux dans ces temps-ci, et certes demain le seront-ils encore plus, ceux qui se perdent dans l’ombre des folies de nouveautés et ainsi, s’écartent de leurs racines ; tout cela par l’intermédiaire des nombres réseaux de distributeurs de vidéos portant atteinte à la sensibilité. Notre attention se portera sur l’un de ces plateformes, le sacré YouTube.

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Talk Tech Liberty : gestion du droit d’auteur à l’ère du numérique

Avec comme objectif : améliorer les connaissances des participants sur l’importance du droit d’auteur à l’ère du numérique et avoir la compréhension accrue du cadre légal régissant le droit d’auteur, l’équipe Free Tech Institute a fait un atelier hybride qui s’est tenu en présentiel et sur Zoom dans le programme Talk Tech Liberty. En effet, cet atelier immersif et hors de l’ordinaire a vu la participation de différents artistes et amateurs du monde web. Tous venus pour développer leurs connaissances auprès des pénalistes professionnels et experts. ” Qui aurait deviner sans l’orientation de REGINE MIREILLE Niyongabo, Avocat collaboratrice, RUBEYA & CO-ADVOCATES et Membre de DLA Piper Africa, que pas seulement que les auteurs ont des intérêts matériels découlant de leurs productions, on doit également savoir que la loi reconnaît à l’auteur des droits moraux dont l’objet est de protéger, à travers l’œuvre la personnalité de l’artiste. Pour dire que ce lien particulier du droit moral avec la personnalité de l’auteur explique ses particularités.” Tel était un commentaire de FERNAND JÉSUS Mukunzi, participant en présentiel de l’atelier. Alors que faire ? De son côté, la vice-présidente de l’amicale des musiciens et Manager de Bantu Bwoy a rappelé que les artistes doivent enregistrer leurs œuvres auprès de l’Office Burundais du Droit d’Auteur (OBDA) pour professionnaliser et protéger leurs travaux. Elle a ajouté aussi que les droits d’auteur doivent être bien protégés afin que nos artistes gagnent en contrepartie, ce qui va favoriser la croissance des artistes. Comment qualifiez-vous les artistes ? Pour DACIA Munezero, chargée de la communication et relations publiques chez Yaga : “Les artistes sont eux aussi des entrepreneurs, ils ont besoin d’un certain capital pour promouvoir leurs œuvres ou bien créer de l’art toujours plus impressionnant. Alors, pour utiliser une œuvre protégée par les droits d’auteur, il faut recueillir l’autorisation du titulaire des droits soit par une licence ou bien par une cession des droits. Et si on essaie de comparer avec d’autres pays de la sous-région, que pourraient être vos commentaires ? Bah, on voit qu’ailleurs les artistes vivent de leur art, ce qui n’est pas le cas chez nous. Que prévoit alors Free Tech Institute ? Sur cette question Belyï Nobel KUBWAYO, le Directeur exécutif a répondu en disant que l’organisation prévoit des sensibilisations, faire des recueils des données, effectivement en partenariat avec les institutions œuvrant dans la promotion artistique. Pour ensuite en faire une base de données. C’est ce qu’aidera à produire des documents qui auront des données chiffrées à l’appui et comme résultat les amateurs du monde web auront un total accès à ces documents précieux. Donc, aujourd’hui, avec la mondialisation, le domaine artistique est assez développé par rapport à la forme traditionnelle d’exploitation, aujourd’hui, c’est le numérique, aujourd’hui, c’est le digital et pour parier à tous ces challenges, il faut se mettre alors au diapason. Par Guy-Eudès Barakana Free Tech Institute

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Au milieu de l’invasion de l’Ukraine, les plateformes continuent d’effacer la documentation critique sur les crimes de guerre

Lorsque des atrocités se produisent, à Marioupol, Gaza, Kaboul ou Christchurch, les utilisateurs et les entreprises de médias sociaux sont confrontés à une question difficile : comment gérer le contenu en ligne qui montre ces atrocités ? Pouvons-nous et devons-nous faire la différence entre les contenus pro-violence contenant des atrocités et la documentation par des journalistes ou des militants des droits de l’homme ? Dans un conflit, les plateformes doivent-elles prendre parti pour déterminer quels contenus violents sont autorisés ?

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